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Suggestion cinématographique québécoise

Octobre

Réalisé par Pierre Falardeau et sorti le 30 septembre 1994, il s’agit d’une histoire fictionnelle et dramatique qui s’inspire d’évènements historiques.

Inspiré par le témoignage de Francis Simard, l’un des membres du FLQ qui a enlevé Pierre Laporte, Octobre raconte, jour après jour, le plus tristement célèbre kidnapping politique de l’histoire du Québec qui se terminera lorsque la police retrouvera le corps de l’otage dans le coffre arrière de la voiture ayant servi à l’enlèvement.. «Nécessaire et injustifiable», cette phrase de Camus ouvre ce huis clos tragique entre quatre jeunes felquistes et un ministre devenu otage.

En plein cœur de la crise d’Octobre de 1970, quatre felquistes enlèvent le ministre du Travail et de l’Immigration Pierre Laporte, afin de forcer le gouvernement à négocier la libération des prisonniers politiques du FLQ. Pendant une semaine, heure après heure, les quatre hommes écrivent l’histoire et changeront à jamais le visage politique du Québec et la portée du mouvement souverainiste québécois, autant sur la scène nationale qu’internationale. On vit avec les cinq hommes qui, acculés au mur par le pouvoir, piégés par l’implacable logique des événements, emportés par le poids des choses, l’un après l’autre, affrontent leur destin. À l’issue d’une semaine de séquestration, la police retrouve le corps du ministre dans le coffre arrière d’une automobile. Que s’est-il passé ?

Voici l’extrait d’une entrevue avec Pierre Falardeau portant sur le film: «Tout ce qui est là-dedans est vrai. Ce n’est pas de la politique-fiction. J’sais bien qu’y en a qui vont dire que Falardeau n’a pas su éviter les clichés de la dramaturgie. Mais qu’est-ce que tu veux, ça s’est passé comme ça; la route barrée par la police juste après le passage des gars avec leur otage, le poulet barbecue payé par Laporte…».

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Voici l’extrait d’une entrevue avec Pierre Falardeau portant sur le film: «Tout ce qui est là-dedans est vrai. Ce n’est pas de la politique-fiction. J’sais bien qu’y en a qui vont dire que Falardeau n’a pas su éviter les clichés de la dramaturgie. Mais qu’est-ce que tu veux, ça s’est passé comme ça; la route barrée par la police juste après le passage des gars avec leur otage, le poulet barbecue payé par Laporte…».